Voici le programme du dimanche 30 novembre :
- Match de championnat pour les A : ils recevront Neuilly sur Marne au stade Max Rousié (match à 9h). Une victoire ferait du bien au moral et serait une belle opération au classement
- Match amical pour les +45 : ils recevront Maccabi au stade des Poissonniers (match à 9h). Tarek aura la lourde de tâche de remplacer le sorcier blanc comme coach. Les +45 gagneront-ils enfin un match amical ? Le suspense est insoutenable.
- Les B seront au repos
Tous les joueurs non invités à jouer en A et +45 sont invités et incités à venir encourager les A.
Amitiés footballistiques ⚽
Stephane Granado
Responsable des Vétérans de l'Es-Parisienne
📰 +45 : Une défaite cruelle, un soleil radieux, et un banc dirigé par “Captain Tarek”
RépondreSupprimerEs Parisienne +45 – Maccabi : 1–3
Par Raymond “la Feinte” Dupont, envoyé spécial en short… mais sans brassard
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🌞 Un dimanche ensoleillé mais une fin de match douloureuse
Les +45 de l’Espérance Parisienne recevaient Maccabi aux Poissonniers pour un amical qui n’avait d’amical que le nom.
Pas de Stéphane “le Dictateur” ce week-end — en congé sabbatique — ce qui a laissé les clés du camion à Captain Tarek, coach du jour, stratège improvisé et meneur d’hommes assumé.
Au final : une défaite 1–3, cruelle, encaissée sur un contre assassin à la 90ᵉ minute.
Le tout sous un grand soleil, dans la bonne humeur… mais avec ce sentiment amer : il y avait largement la place.
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🧤 Compositions
Gardien (1ère mi-temps) : Médéric
Défense : Salim – Kader – Vincent (c) – Fred
Milieux : Makkram – Karim – Stéphane E. – Farid
Attaque : Mohamed R. – Mohamed A.
Remplaçants : Mahdi – Lionel – Azzedine
Coach du jour : Tarek
Gardien (2e mi-temps) : Farid
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⚽ Le Match : Regrets, occasions et un contre fatal
🔹 Première mi-temps : du jeu, des situations… mais rien au tableau
Le match commence fort, les +45 jouent haut, combinent bien, mais l’efficacité reste aux vestiaires.
On note :
• Un coup franc de Karim, subtil comme une pichenette panenka… directement dans les gants du gardien.
• Des occasions franches pour Mohamed R. et Mohamed A., mais le dernier geste manque.
• Un gros travail de Stéphane E., omniprésent, organisateur, récupérateur, coureur intemporel.
Mais comme souvent dans ce genre de scénario :
0–1 sur la première erreur, Maccabi convertissant l’une de ses rares incursions.
Mi-temps : 0–1.
Le score ne reflète pas la maîtrise parisienne.
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🔹 Début de 2e mi-temps : les changements… et le déséquilibre
Pour redistribuer les cartes, Captain Tarek effectue plusieurs changements à la pause.
Bonne intention, mais effet inattendu : le milieu perd sa structure, les distances s’allongent et Maccabi en profite.
Résultat : 0–2, un coup de massue.
Farid, passé dans les buts, fait ce qu’il peut — mais les vagues reviennent vite.
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🔹 La révolte : Mahdi rallume l’espoir
Entré pour dynamiser le front offensif, Mahdi surgit sur un corner mal dégagé et envoie une reprise parfaite au second poteau :
1–2, l’Espérance revit.
Les +45 poussent, dominent, se procurent plusieurs situations… mais l’égalisation leur échappe à quelques centimètres.
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🔹 Dernières secondes : tout le monde monte… et tout le monde redescend la tête basse
Corner pour l’Espérance à la 90ᵉ.
Tout le monde monte, même les défenseurs.
C’est beau, c’est courageux, c’est vétéran.
Mais le ballon est contré, Maccabi part à toute vitesse, et en deux passes :
1–3.
Le contre parfait, l’estocade finale.
Cruel, vraiment cruel.
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🔍 Analyse : les enseignements du jour
• Maccabi : équipe technique, renforcée par des joueurs de la B, très efficace en contre.
• Espérance +45 :
• Beaucoup d’envie,
• Une très bonne première mi-temps,
• Des occasions nombreuses,
• Mais encore un manque d’efficacité,
• Et un manque de cohésion après les changements à la pause.
• Stéphane E. : énorme match, du début à la fin.
• Karim : créatif et malin, mais pas assez de danger sur coups de pied arrêtés.
• La gestion de Tarek : audacieuse, mais les réajustements ont parfois fragilisé le collectif.
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🎙️ Le mot de Raymond “la Feinte” Dupont
“Le football est parfois cruel : on domine, on se crée les meilleures situations… et on se fait punir sur la dernière action.
Mais dans le soleil des Poissonniers, j’ai vu un groupe qui joue, qui ose, qui tente.
Un groupe qui va gagner beaucoup plus de matchs qu’il n’en perdra.”